4- depuis les ecosystemes jusqu’à l’anthropocene

 

 

 

Il y avait l’eau, la foret, l’élevage, le sport. Le sport est un ecosysteme humain qui rapporte enormement d’argent. Il y a aussi la peche et la chasse.

 

P 243 « la terre entière est soumise à un calcul économique d’optimisation. Tous les services rendu par le système terre peuvent etre evalués. Nature en 1997 estimaient ces services entre 16000 et 54000 milliards de dollars »

 

C’est dommage de perdre de vue les constituants du tout sous le pretexte d’un calcul economique aussi vague. C’est comme quand on vous dit qu’il y a tant de morts par ans a cause de la pollution de l’athmosphere. Comment croire des calculs qui ne sont pas justifiés par des preuves.

 

Avant de penser que l’anthropocene implique l’humanité « comme une force geologique » (bonneuil et Fressoz p 95) ne faut-il pas impliquer l’humanité comme force sociologique ? « Que peut-il rester

 

 

 

Il y a une étape qui sauterait dans l’enseignement du développement durable si on passait par dessus les écosystèmes pour aborder sous le prétexte de son effet de mode l’âge anthropocène et l’action en justice. On détacherait l’action écologique patiente de ses bases et on l’entraînerait dans une action de masse dont l’ingénierie va profiter, mais pas les pauvres.

 

Sur la question du sport la jeunesse est extrêmement demandeuse. Outre que c’est l’age des performances c’est aussi la jeunesse qui est la plus sensible au transformisme qui résulte des progrès de la médecine, de ceux de la biologie et des outils numériques. Tout le monde se drogue aujourd’hui dans ces milieux ; certaines drogues étant des molécules légales tandis que les autres sont interdites. La race humaine étudie sa propre évolution, naissance, vieillissement, performances sportives, performances sexuelles. Ses progrès en génétique sont d’une rapidité tout a fait inattendue. Comme l’a fait remarquer un sociologue lors du grand débat, ils sont un facteur très puissant de la déstabilisation sociale.

 

Deja elle ne depend plus de la rencontre des hommes et des femmes pour ses embryons. Bientot il y aura sur la race humaine les modifications génétiques qui sont déjà connues sur les animaux. Et c’est une chose que les defenseurs de la cause animale devrait bien etudier car en matière veterinaire on est beaucoup plus fasciste qu’en matière médicale et on perd son temps dans les abattoirs et les boucheries alors que ce sont le laboratoires en blouses blanches avec des pipettes qui creent les clonages.